Iridologie
L’iridologie est une approche ancienne et une technique utilisée en naturopathie. Elle daterait des Chaldéens (ancien peuple sémite nomade du 9ème au 6ème siècle avant JC). Elle s’effectue tout d’abord au travers de l’observation de l’iris de chaque œil d’un patient. Au travers de ces observations, on peut repérer des zones dites sensibles ou plus susceptibles d’être perturbées par les maladies.
La répatition de l’oeil
L’œil est décomposé en plusieurs zones dans deux sens différents. En premier lieu, on observe les différents cercles qui le composent et partent de son centre vers sa périphérie. En second lieu on observe les zones réparties en secteurs autour de la pupille au niveau du cercle en lien avec les organes. Ceux-ci sont localisés au travers de cartes iridologiques. Il existe quelques différences entres certaines cartes, mais globalement, elles sont en accord.
L’approche iridologique
L’iridologie selon l’école anglo-saxonne :
L’approche iridologique découle de deux écoles différentes qui donneront également une présentation très différente de l’analyse des iris.
La première école est anglo-saxonne et présente l’iridologie comme une découverte de la constitution de la personne. Ceci revient à dire que l’iris expose le potentiel de départ et pour toute la vie, d’une personne. Peu de facteurs sont modulables. Le naturopathe utilise dans ce cas l’iridologie pour prévenir ou accompagner les zones à risque du terrain d’un patient qui aurait déjà ou pas, manifesté des symptômes avérés. On constate d’ailleurs très souvent que les zones sensibles correspondent aux zones de troubles apparaissant majoritairement à partir de la quarantaine. Par ailleurs, il n’est pas rare qu’après une présentation d’analyse iridologique à un patient, il fasse lui même les liens avec ses problèmes de santé et de déséquilibre.
L’iridologie selon l’école germanophone :
La seconde école, germanophone, présente l’iridologie comme une connaissance de terrain mais également comme une présentation des symptômes ou des maladies présentes.
Nous fonctionnons suivant le modèle anglo-saxon. L’iridologie nous sert donc de support d’observation du terrain et des zones à risque d’une personne sans jamais pouvoir annoncer ni diagnostic ni maladie. Nous laissons cette partie aux médecins dont c’est le métier.